vendredi 5 mars 2010

Le Hoodia, super plante minceur !




Un coupe-faim révolutionnaire capable, en plus, de stimuler l’énergie et d’améliorer l’humeur, permet de perdre efficacement du poids sans danger… et même avec un bénéfice pour la santé !

Le Hoodia gordonii est une plante épineuse qui pousse à l’état sauvage dans le désert du Kalahari, province septentrionale de l’Afrique du Sud. Elle est utilisée depuis les temps préhistoriques par les tribus San qui la mâchent pour calmer soif et appétit durant leurs longues expéditions de chasse.

En 1997, le Conseil pour la Recherche Scientifique et Industrielle sud-africain isola le composant du Hoodia, maintenant connu comme « P57 », responsable de cet effet coupe-faim, et le breveta, si bien qu’aujourd’hui l’industrie pharmaceutique développe un médicament dont les ventes se chiffrent en milliards d’Euros. 


En 2002 cependant, en accord avec la Convention sur la Biodiversité, les droits du peuple San sur le Hoodia furent officiellement reconnus, l’autorisant ainsi à  participer aux profits issus de la commercialisation du Hoodia, ce qui fait qu’il est dores et déjà disponible sous la forme d’un complément nutritionnel non seulement naturel mais surtout traditionnel.

Le Hoodia gordonii est en effet une plante protégée qui ne peut être cueillie à l’état sauvage que par des individus et quelques rares sociétés détenant une licence. Il faut savoir, d’autre part, que le sol, l’environnement et le climat du Kalahari jouent un rôle essentiel dans la croissance d’un Hoodia de bonne qualité. Il convenait donc de se procurer directement sur place la forme exacte de Hoodia sauvage utilisée par les San, dont l’efficacité a été démontrée dans plusieurs études scientifiques ; l’extrait 20:1, produit industriellement en Chine et trop souvent commercialisée, n’étant pas la plante qui a été utilisée dans les études en question. 

Mincir avec plaisir

Le Hoodia calme l’appétit d’une manière telle que la ration calorique quotidienne peut être réduite d’environ 35%. La molécule P57 agirait en envoyant au cerveau un signal de satiété. Une perte de poids significative résulte fréquemment d’une telle réduction de l’apport calorique. Le Hoodia n’a aucun effet secondaire connu et il ne contient pas de caféine. Ceux qui l’utilisent perdent souvent de deux à quatre kilos dés les deux premières semaines, sans ressentir le stress ou la fatigue généralement associés aux régimes hypocaloriques.

Comment fonctionne-t-il donc ?

Essentiellement basé sur un leurre glucidique, la molécule P57 du  Hoodia agit sur l’hypothalamus en se faisant passer pour du glucose, auquel elle ressemble effectivement… mais bien sûr n’en est pas ! En fait, cette molécule est dix mille fois supérieure au glucose, sans apporter aucune calorie. A de telles proportions, l’hypothalamus envoie alors immédiatement un signal de satiété aux cellules du corps qui, croyant être rassasiées, suppriment la sensation de faim normalement destinée à pousser l’individu à manger lorsque le glucose manque.

C’est donc ainsi que les consommateurs de Hoodia, n’ayant plus faim, peuvent facilement s’arrêter de manger, réduire leur ration calorique de 30 à 40%… et perdre rapidement du poids, d’autant plus facilement, d’ailleurs, que le Hoodia améliore l’humeur et se trouve donc associé à un réel sentiment de plaisir, aux antipodes des souffrances que font endurer les régimes de privation.

Geneviève Maillant




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Minceur et tempéraments homéopathiques




Perdre du poids, c’est bien. Ne jamais en reprendre, c’est mieux ! Pour parvenir à ce résultat, l’homéopathie propose de traiter les tendances héréditaires à l’origine de la récurrence du problème. 

Tout le monde le sait aujourd’hui, perdre du poids est extrêmement facile, même si cela peut paraître pénible lorsque l’on se prive intensément de nourriture ; mais le plus difficile reste de ne pas reprendre des kilos après le régime.

C’est donc dans l’objectif premier d’éviter de regrossir que la plupart des méthodes proposent maintenant d’agir, chacune à sa manière, il est vrai, et avec des résultats variables mais souvent, malgré tout, effectifs.

Le point de vue de l’homéopathie, dans ce domaine, n’est pas différent, en ce qui concerne le phénomène dit du « yoyo », de celui qui explique la récurrence de n’importe quelle autre pathologie, puisqu’il fait appel à la notion de diathèse.

Qu’est-ce que la diathèse ?

Autrefois on parlait des «miasmes», aujourd’hui du «codage génétique», mais l’idée reste la même, à savoir que la chronicité d’un problème relève souvent d’éléments pathologiques plus ou moins cachés – tout au moins jusqu’à ce qu’ils se manifestent – hérités de ses parents ou de ses grands-parents, ou encore fabriqués au cours de l’existence de l’individu à force de comportements néfastes.

En homéopathie, ces facteurs plus ou moins héréditaires et virtuels sont regroupés sous l’appellation de « diathèse », un terme désignant tout simplement un profil constitutionnel, en l’occurrence propre à un ensemble de personnes qui, face à une pathologie donnée, présentent des symptômes identiques en l’absence de traitement.

Bien sûr, l’homéopathie est très loin de se borner à la théorie des diathèses pour mettre ses protocoles thérapeutiques en application, chaque individu étant évidemment malade à sa manière, et seulement à sa manière ; mais l’approche diathésique peut, dans certains cas, et notamment dans le traitement de la surcharge pondérale rebelle, assurer un complément extrêmement intéressant aux régimes ou autres méthodes classiques, précisément en apportant une réponse au problèmes qui causent le fameux phénomène du yoyo.

Ces diathèses, ou profils constitutionnels de base, sont au nombre de quatre : la psore, la sycose, le lutéisme et le tuberculinisme. Chacune a ses remèdes, que le médecin prescrira dans les hautes dilutions, le plus souvent en 15CH ou en 30CH, mais aussi quelquefois en 9CH pour les médicaments d’appoint, ou encore en dilutions montantes, 9-12-15-30 ; le tout généralement en doses hebdomadaires sur un ou deux mois, ou en granules quotidiennes ou bihebdomadaires… bref, à des fréquences et sur des durées variables selon le profil et l’état de son patient.

La psore

La psore, qui se spécifie par un défaut d’élimination, une alternance des troubles, ainsi que des réactions extrêmes au chaud et au froid, est la toute première diathèse en matière de surpoids, regroupant indéniablement le plus grand nombre d’individus souffrant de surcharge pondérale. La raison en est d’ailleurs assez simple, puisque, comme on l’a dit, la psore peut être essentiellement définie comme un ensemble de perturbations dues à une intoxication chronique.

Que se passe-t-il donc, chez le psorique ? Il est totalement dépassé par les toxines qui l’assaillent de l’intérieur comme de l’extérieur. Conséquence : son organisme crée des voies de dérivation, comme les calculs rénaux ou vésiculaires, les rhumatismes chroniques, ou encore le stockage de graisse.

Toutefois, le psorique ne subit pas, à travers ces désagréables symptômes, les effets d’une malédiction céleste ; il mérite naturellement ce qui lui arrive puisqu’il cultive complaisamment un sédentarisme des plus excessifs tout en mangeant généralement très mal, n’importe quoi, n’importe quand, et en portant d’ailleurs ses préférences sur la viande et les sucres, quand ce n’est pas, on s’en doute, sur l’alcool.

Mise à part la nécessité impérieuse de se livrer à un sport non violent afin de commencer à éliminer, les remèdes généraux d’un tel comportement alimentaire sont Nux vomica, Sulfur et Aloe ; mais, plus précisément, si l’on abuse de boissons alcooliques, Nux vomica et Acidum sulfuricum ; de bière, Aloe ; et de tabac, Ignatia, Sepia et Tabacum.

Enfin, puisque les toxiques viennent aussi bien de l’extérieur que de l’intérieur, le psorique pourra lutter contre la pollution citadine, qui l’affecte tout particulièrement, avec Acidum phosphoricum, voire Petroleum.

Pour le reste, les signes caractéristiques du psorique vont de l’hypersensibilité, éventuellement aggravée de dépression, jusqu’à des prédispositions génétiques comme l’eczéma, l’asthme ou la migraine dans lesquelles pourra d’ailleurs se trouver la cause de son surpoids. Si celui-ci perdure malgré le régime, l’homéopathie lui propose Ignatia, Staphysagria et Acidum phosphoricum.

Une autre caractéristique du psorique est la fatigue. En effet, et malheureusement, il ne parvient pas à trouver le repos, éprouve toujours une certaine difficulté à accomplir n’importe quel effort physique et constate un incontestable ralentissement intellectuel. Cela dit, ces réductions de vitalité surviennent progressivement. Aussi, tant que le psorique reste relativement tonique, et qu’il est encore parfaitement en mesure de se prendre en charge, il devra penser à Sulfur et Hepar sulfur ; par contre, si, sans être totalement amorphe, il commence à manquer de réaction, Calcarea carbonica, Graphites, Lycopodium et Sepia lui conviendront mieux ; enfin, au-delà de ce stade, il va sans dire que seul le médecin homéopathe pourra assurer l’établissement d’un traitement adéquat.

D’autre part, et quel que soit le stade, s’il souffre de troubles de la circulation veineuse, il pourra prendre Aesculus, ou Berbéris et Solidago pour stimuler l’épuration par le foie.

Pour guider le choix des remèdes les plus adéquats parmi tous ceux que l’on vient de citer et qui correspondent à autant de signes, il faut savoir que la psore n’a finalement que cinq médicaments fondamentaux : Sulfur, Graphites, Lycopodium, Sepia et Psorinum. C’est donc en définissant avec lequel (ou lesquels) de ces cinq profils on est le plus en conformité, et en y ajoutant deux ou trois autres médicaments correspondant à des signes particuliers, que l’on pourra établir un traitement amincissant personnalisé.
 
Sulfur subit le coup de pompe de onze heures avec fatigue intense et faim incontrôlable, mais souffre surtout de l’alternance de tous les symptômes décrits plus haut.

Graphites est constipé et frileux, même s’il préfère l’air frais à la chaleur ou aux lieux confinés. Enfin, son embonpoint menace toujours de s’aggraver.

Lycopodium est très souvent hépatique, à moins qu’il souffre de troubles urinaires. Lui aussi est frileux, mais présente généralement une amélioration de ses symptômes au froid et une aggravation à la chaleur.

Sepia s’adresse en grande majorité aux femmes, et surtout à celles présentant des troubles hépatiques, ou biliaires en alternance avec des problèmes urinaires ou gynécologiques. Apparemment indifférent à son entourage, Sepia souffre d’un ralentissement tant physique qu’intellectuel.

Psorinum se trouve tout simplement dans le cas d’avoir grossi parce que sa frilosité, sa fatigue et autres problèmes de santé étaient améliorés en mangeant.

La sycose

Même si la psore est la diathèse par excellence de la prise de poids, on ne saurait résumer le phénomène à elle seule ; et les trois autres constitutions ont leur part de responsabilité dans l’embonpoint et l’obésité du genre humain.

Cela dit, les traitements de la sycose, du lutéisme et du tuberculinisme ne présentent fort heureusement pas le caractère de complexité de ceux de la psore, et l’on en fait infiniment plus aisément le tour.

Pour ce qui concerne le profil constitutionnel des sycotiques souffrant d’un excès de poids, on le résume généralement en trois mots : cellulite, embonpoint et obésité.

En effet, alors que la psore était caractérisée par l’incapacité d’éliminer les toxines, la sycose, elle, se spécialise dans la rétention d’eau. Ainsi, pour améliorer le terrain sycotique, le traitement s’oriente-t-il vers une désinfiltration générale des tissus, ce qui, au plan de la cure d’amincissement, se traduit par une perte de 10% du poids en moins d’un an ; ceci n’empêchant pas d’assurer un certain suivi pour maintenir les résultats dans le temps.

Outre la rétention d’eau, on reconnaîtra le sycotique à sa pâleur, à sa transpiration excessive et à ses kystes et autres proliférations tumorales, mais aussi à sa tendance aux infections à répétition, à des réactions excessives à des médicaments comme les antibiotiques, les vaccins, les corticoïdes ou les antidépresseurs, ou à des modifications hormonales ou physiologiques.

Il arrive également que sa prise de poids trouve, très classiquement, un déclencheur dans de graves erreurs d’alimentation, à moins que ce soit dans une intervention chirurgicale ou un choc psychologique. La sycose est d’ailleurs souvent liée à un état dépressif aggravé par l’humidité. De toute manière, tous les signes du sycotique sont aggravés par l’humidité !

Un autre signe fréquent, mais non obligatoire, se situe dans une prise de poids démarrant à la saison automnale avec un sentiment pré-dépressif et une gestion anarchique de l’alimentation.

Selon l’importance de l’un ou l’autre de ces signes, on choisira les médicaments de l’embonpoint sycotique parmi les suivants :

Thuya et Natrum sulfuricum lorsque la rétention est à l’origine de la prise de poids.

Causticum lorsque l’embonpoint est installé et qu’il y a problèmes hormonaux, infections génitale ou urinaire.

Dulcamara lorsqu’il y a aggravation au froid et à l’humidité.

Thuya et Acidum nitricum lorsqu’il y a verrues, kystes, polypes de la sphère ORL, de la vessie ou génital.

Rhus tox ou Dulcamara avec Thuya lorsqu’il y a douleurs aggravées par l’humidité et améliorées par le mouvement.

Le lutéisme

Pour simplifier, on peut dire que l’obésité est lutéique lorsqu’elle est héréditaire.

En fait, à l’origine, le lutéisme fut défini comme une réaction de l’organisme à l’agent de la syphilis. Bien sûr, aujourd’hui l’homéopathie considère cette troisième diathèse comme une modalité réactionnelle à toute infection, héréditaire avant tout, il est vrai, mais également acquise.
Pour ce qui concerne le surpoids, en tout cas, on pourra penser aux médicaments du lutéisme lorsqu’il y a obésité familiale ou un excédent de poids à la naissance supérieur à quatre kilos.

L’autre grande caractéristique du lutéisme est la réponse typiquement anarchique de l’organisme à l’agression. L’organisme résiste, en l’occurrence aux régimes, même les plus sévères, et interdit ainsi toute perte de poids par les méthodes habituelles. Pour cette raison, l’obésité ou l’embonpoint lutéiques sont clairement les plus difficiles à résoudre.

A quoi va-t-on reconnaître le patient lutéique ?

Avant tout, comme on l’a dit, il risque d’appartenir à cette diathèse si l’on retrouve dans ses antécédents familiaux une ou des infections syphilitiques (ou proches de celle du tréponème). Mais on peut aussi y rencontrer des fausses couches à répétition, des accouchements prématurés ou des mortalités infantiles, etc.

D’autres signes sont encore indicatifs, et notamment une relative dysharmonie dans l’aspect de l’individu, ou une enfance difficile sur le plan psychologique, avec hyperactivité ou troubles obsessionnels compulsifs.

Le psychisme du lutéique est instable, et son comportement paradoxal. En un mot, c’est un cyclothymique que son problème de surpoids plonge un jour dans la dépression mais le lendemain dans l’indifférence.

Souvent incapables de rester fidèles à un but, leur régime ou leur traitement ont beaucoup de mal à être menés à bonne fin, par pure impatience. Une aide extérieure rassurante leur est donc fréquemment indispensable pour réussir à maigrir.

Au niveau du poids, il arrive souvent que l’enfant soit obèse relativement tôt, quand ce n’est pas à la naissance, et que cette condition s’aggrave par la moquerie de ses petits camarades.

Enfin, curieusement, certains lutéiques perdent quelquefois du poids à la montagne.

Les remèdes homéopathiques de l’obésité et de l’embonpoint de cette diathèse sont Mercurius et Argentum nitricum dans un contexte inflammatoire, à quoi l’on pourra ajouter Hydrastis, Kalium bichromicum et Mezerreum puis, dans un second temps, après évolution, Calcarea fluorica et à nouveau Argentum nitricum en remèdes de fond.

Lorsque, en plus de l’obésité, il y a troubles vasculaires et notamment hypertension, on conseille Aurum metalicum ou Baryta carbonica.

En cas de troubles nerveux, Argentum nitricum ou Baryta carbonica.

Et enfin, pour traiter le surpoids proprement dit, Aurum metalicum, Baryta carbonica et Calcarea fluorica.

Le tuberculinisme

Dernière diathèse, le tuberculinisme est la moins concernée par la prise de poids, bien qu’elle puisse, malgré tout, s’y trouver quelquefois liée.

Le tuberculinique souffre avant tout d’une hypersensibilité nerveuse avec fatigabilité.

Pour le reste, ses symptômes habituels vont de la congestion veineuse à la frilosité, en passant par la constipation et, plus fréquemment encore, les antécédents de problèmes ORL et broncho-pulmonaires.

Enfin, ce qui caractérise essentiellement cette diathèse est sans aucun doute la variabilité extrême de tous ces symptômes.

On la traite le plus souvent avec Sulfur iodatum, Natrum muriaticum et Silicea, éventuellement complétés par une deuxième série de remèdes dont Calcarea phosphorica, Kalium phosphoricum, Natrum phosphoricum et enfin Pulsatilla et Sepia. 

Jean-Baptiste Loin



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Des recettes végétariennes pour mincir




Que l’on veuille mincir ou tout simplement garder la ligne, le régime végétarien n’implique pas forcément que l’on renonce à se faire plaisir…


On oublie trop souvent que les programmes Weight Watcher, comme d’ailleurs beaucoup de régimes amincissants, comportent une grande quantité de recettes authentiquement végétariennes.

En préparant ces recettes gourmandes, le plus possible avec des ingrédients en provenance de l’agriculture biologique, et, bien sûr, en n’oubliant pas de faire, par ailleurs, suffisamment d’exercice physique, il est possible de conserver ou de retrouver un poids normal en relativement peu de temps et… d’une manière on ne peut plus agréable ! 


Crème de lentilles

Cuire doucement pendant une demie heure deux cent cinquante grammes de lentilles trempées la veille, un gros oignon jaune très finement émincé, une carotte coupée en fines rondelles, deux branches de céleri émincées, une feuille de laurier et du poivre.

Lorsque les lentilles sont bien tendres, ajouter quelques pincées de gingembre. Puis passer la préparation au mixeur, en ajoutant éventuellement un peu d'eau bouillante pour obtenir la consistance désirée. Incorporer une cuillère à soupe de son, du sel et de poivre.


Soupe de champignons

Nettoyer cent cinquante grammes de champignons de Paris et couper leur pied terreux. Les hacher finement. Nettoyer quelques girolles et deux cèpes, sans les laver mais en les essuyant soigneusement à l'aide de papier absorbant légèrement mouillé. Les tailler en lamelles. Tronçonner une branche de céleri. Ebouillanter une grosse tomate pour la peler, puis l’épépiner et la concasser.

Verser un litre et demi de bouillon de légumes dans une grande casserole, ajouter les champignons de Paris hachés et le céleri. Saler et poivrer, porter à ébullition, puis faire mijoter pendant vingt minutes.

Pendant ce temps, faire chauffer un peu d'huile dans une poêle ; y mettre les cèpes et les girolles à rissoler, en les remuant sans arrêt, jusqu'à ce qu'ils soient bien dorés.

Dans la casserole, ajouter quatre vingt grammes de macaronis coupés  ainsi que la tomate concassée, et poursuivre la cuisson pendant une petite dizaine de minutes.

Répartir la soupe dans des assiettes creuses et garnir de champignons rissolés.


Gaspacho

Ebouillanter brièvement six cents grammes de tomates rondes bien mûres pour les peler. Les épépiner et les tailler en petits dés, puis les verser dans une grande terrine. Mouiller avec quatre grands verres de bouillon de légumes, puis délayer cent grammes de chapelure complète. Ajouter trois cuillères à soupe de vinaigre de vin blanc, deux cuillères à soupe de vin blanc et trois cuillères à soupe d'huile d’olive. Passer au mixeur pour rendre la préparation parfaitement fluide. Saler et poivrer.

Couper un poivron rouge en deux, retirer les cloisons et les graines, et tailler la pulpe en très petits dés. Peler un demi concombre, le couper en deux, retirer les graines et tailler la pulpe en petits dés. Peler un gros oignon et le hacher finement. Couper deux courgettes en fine julienne. Peler deux gousses d'ail et les presser directement dans la terrine contenant la préparation à la tomate. Incorporer les autres légumes et placer la terrine couverte au réfrigérateur pendant au moins six heures.

Au moment de servir, répartir le gaspacho dans de petites soupières individuelles et parsemer la surface d'amandes effilées ou de graines de tournesol.


Champignons farcis

Peler et hacher un petit oignon blanc. Retirer les pieds de cent cinquante grammes de gros champignons de Paris, et laver les chapeaux. Ciseler une botte de ciboulette et la mélanger avec un petit Suisse et l’oignon. Saler et poivrer. Remplir les champignons avec cette farce.


Tartare de légumes

Eplucher cent grammes de courgettes et cent grammes de carottes nouvelles. Couper la courgette dans le sens de la longueur et ôter les graines. Couper les pieds de deux cents grammes de champignons de Paris et les laver. Peler deux oignons nouveaux. Laver cent grammes de radis roses et les préparer. Presser un citron. Ciseler une petite botte de ciboulette. Couper les légumes en petits dès. Les arroser de jus de citron. Poivrer et saupoudrer avec du Gomasio.

Mélanger de l’huile d’olive avec la ciboulette. Verser sur les légumes. Décorer avec des câpres. Ajouter quelques bouquets de mâche, et servir.


Concombre au tofu

Éplucher un concombre et le couper en quatre tronçons. Les évider sans percer jusqu’au fond. Saler l’intérieur et les retourner sur une assiette pour qu’ils s’égouttent. Peler un demi avocat et le couper en petits dès.

Couper également cent vingt grammes de tofu en petits dès. Emincer douze radis roses en rondelles. Ciseler quatre brins de coriandre.

Dans une terrine, mélanger une cuillère à soupe de jus de citron, un yaourt nature, deux cuillères à café d’huile d’olive, du sel et du poivre, puis ajouter la coriandre ciselée, les dès de tofu et d’avocat, et les rondelles de radis.

Mélanger et en garnir les tronçons de concombre. Servir très frais.


Omelette aux légumes

Eplucher quatre carottes et les tailler en petits bâtonnets. Plonger quatre petites tomates dans l'eau bouillante pour les peler. Les épépiner et tailler la pulpe en lanières. Emincer finement cent grammes de pousses d’épinard dans le sens de la longueur. Laver et égoutter cent grammes de pousses de soja. Emincer très finement une demie botte de radis. Retirer délicatement la première pelure de quatre oignons verts avec leur tige. Piquer la lame d'un couteau pointu au cœur du bulbe et tirer. Les partager longitudinalement sans détacher le vert du bulbe.

Faire blanchir les légumes séparément. Battre deux œufs dans un bol avec deux cuillères à soupe d'eau gazeuse. Faire chauffer une poêle antiadhésive sur feu doux. Jeter les légumes dans la poêle chaude, répartir dessus les œufs battus. Retourner l'omelette régulièrement et rapidement pour dorer des deux côtés. Servir chaud.


Quenelles de tofu

Porter à ébullition douze centilitres d'eau avec quarante grammes de margarine allégée à 60% et une demie cuillère à café de sel. Dès que l'eau bout et que la margarine est fondue, retirer du feu, verser quatre vingt grammes de farine tamisée d'un seul coup et mélanger. Remettre la casserole quelques instants sur feu doux en travaillant la pâte afin de la dessécher. Laisser tiédir pendant trois minutes. Battre un œuf dans un bol et l'incorporer à la préparation.

Laver un demi bouquet de persil, un demi bouquet d’estragon et une demie botte de ciboulette. Emietter deux cent quarante grammes de tofu dans un bol mixeur, ajouter une cuillère à soupe de crème allégée à 15% et les herbes. Mixer le tout. Ajouter cette préparation à la pâte. Assaisonner de sel, de poivre et d'une pointe de noix muscade râpée.

Façonner des quenelles à l'aide de deux cuillères à soupe, puis les poser au fur et à mesure sur un plat, et les réserver au réfrigérateur.

Dans une casserole, diluer une tablette de bouillon de légumes dans soixante quinze centilitres d'eau bouillante. Couper cinq cents grammes de petits poireaux en tronçons et les faire cuire dans le bouillon pendant quinze minutes. Les réserver au chaud en gardant le bouillon de cuisson.

Sortir les quenelles du réfrigérateur. Les faire pocher dans ce bouillon pendant dix minutes à frémissement.

Les servir dans des assiettes creuses avec les poireaux et une petite louche du bouillon de cuisson.


Terrine de légumes

Préchauffer le four à 180 °C.

Faire cuire à la vapeur pendant dix minutes un petit chou vert coupé grossièrement, et les bouquets d’un chou-fleur. 

Couper en morceaux deux pommes de terre épluchées. Peler deux oignons et les couper en morceaux. Hacher finement tous les légumes.

Faire chauffer une  poêle antiadhésive. Y faire  revenir cent soixante grammes de tofu en morceaux, mouiller avec quatre cuillères à soupe d'eau gazeuse et ajouter un peu des légumes hachés. Faire dorer l'ensemble pendant quelques minutes. Incorporer vingt cinq grammes d’emmental râpé. Saler, poivrer. Verser le mélange dans une terrine légèrement huilée. Couvrir avec la purée de légumes restante et poudrer avec vingt cinq autres grammes d’emmental râpé.

Enfourner et laisser cuire pendant dix minutes. Servir aussitôt.


Légumes farcis

Préchauffer le four à 180 °C.

Peler une gousse d'ail. Cuire deux cents grammes de polenta avec l'ail dégermé.

Partager deux gros concombres en tronçons de quatre centimètres et les évider. Mettre les tronçons debout dans un plat allant au four. Réserver. Mettre la pulpe dans une casserole et cuire doucement pendant dix minutes.

Poser un gros poivron vert et un gros poivron rouge sur la grille du four chaud pendant cinq minutes. Les retirer lorsque la peau commence à cloquer et les peler, puis couper la chair en lanières.

Effiler cent grammes de haricots verts. Tailler en bâtonnets de quatre centimètres un gros cœur de céleri-branche. Les faire cuire ensemble pendant quinze minutes dans une casserole remplie d'eau bouillante salée. Egoutter et réserver.

Quand la polenta est cuite, verser dans une jatte, ajouter les poivrons, la chair des concombres et cent grammes de fromage blanc frais à 20%. Saler, poivrer et mélanger.

Farcir les tronçons de concombre de ce mélange. Piquer dans la farce avec des haricots verts et des bâtonnets de céleri. Les saupoudrer de copeaux de parmesan. Verser un petit verre d'eau gazeuse au fond du plat et enfourner pendant huit minutes à four chaud.


Mille-feuille de fruits

Faire cuire deux cents grammes de rhubarbe avec un verre d'eau pendant vingt minutes.

Eplucher trois pommes, quatre kiwis et quatre pêches bien mûres. Evider les pommes. Couper en deux et dénoyauter les pêches et six abricots. Plonger les pommes, les pêches et les abricots dans de l'eau bouillante sucrée avec deux cuillères à soupe de sirop d’érable. Les faire blanchir, puis les couper en tranches dans le sens de la largeur.

Peler deux bananes. Emincer les kiwis et les bananes dans le sens de la longueur. Presser un citron. Plonger cinq cents grammes de fraises dans un saladier rempli d'eau légèrement citronnée, les équeuter et les émincer.

Mélanger deux cents grammes de fromage blanc à 20% et deux cuillères à soupe de sirop d’érable dans un bol.

Dans un grand plat à bords hauts, étaler la rhubarbe cuite, couvrir successivement avec une rangée de bananes, de kiwis, de pêches, d'abricots, de pommes, de fromage blanc et de fraises. Recommencer, jusqu'à épuisement des fruits.

Couvrir d'un film et mettre au réfrigérateur pendant une journée.

Geneviève Maillant


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